Réforme dans l’Église

ÉCOLE DOMINICALE DU 22 MAI 2022
Avec :
Fr. Joseph-Thomas Pini
Fr. Jean-Marc Gayraud
M. Michel Fourcade, historien



Au début : brève introduction par le Fr. Jean-Marc Gayraud puis intervention du Fr. Joseph-Thomas Pini sur l’art de la réforme dans l’Église ;

23′ : intervention du Fr. Jean-Marc Gayraud sur l’actualité permanente de la transmission de l’Évangile ;

39′ : intervention de M. Michel Fourcade : trois points de réforme pour l’Église aujourd’hui.

La discussion avec le public qui a suivi ces interventions ne figure pas dans cet enregistrement.

4 commentaires à propos de “Réforme dans l’Église”

  1. L ‘ Eglise c ‘ est Marie : elle s ‘ efforce de faire  » l ‘ oeuvre de Dieu  » et non des euvres pour Dieu comme Marthe qui  » s ‘ agite pour bien des choses  » ( inutiles , hors propos ? ) .

    Pour corriger ses membres l ‘ Eglise devrait réduire ) l ‘ état laïc tous les prélats impénitents partisans de la mouvance LGBT et francs – maçons qui oeuvrent au Vatican ; puis chasser des services de la Curie tous ses membres partisans de ces mêmes idéologies :humaines ils oeuvrent  » contre Dieu  » et non pour Lui .

    Si la tête est assainie , le corps se portera mieux : même si celà fâche , Sainte Catherine de Sienne disait de même .

  2. Jean Marc parle de  » tensions  » dans la conduite des réformes dans l » Eglise .
    Je ne suis pas du tout d’accord avec le premier commentaire.
    Pour moi , l ‘ Église ce n’est pas Marie ….
    Pour le reste, j’ y vois une allusion à James Martin s.j et  » Building a bridge  » que je soutiens complètement.
    Quand à la dureté des mots employés…. corriger , chasser ,assainir , ….ça fait mal…

  3. Bonjour,
    Je me permets de faire une remarque à ce que le 2e intervenant affirme en disant qu’on ne manque pas de prêtres.
    En effet, un prêtre en charge de 57 clochers dans la Somme rencontre des problèmes avec sa communauté. Celui-ci ne peut pas répondre à toutes les sollicitations et un fonctionnement limpide est tt simplement impossible, d’où de fortes tensions en interne et par extension en externe : les rumeurs alimentent un climat de critiques dont le prêtre a connaissance par de tierces paroissiens solidaires.
    Mais l’image de prêtre est bafouée et les paroissiens semblent vouloir le décourager voire l’évincer.
    La présence de plusieurs prêtres ds les zones rurales permettrait d’assurer un autre rayonnement autour d’eux ! Donc, il ne me semble pas juste de dire que l’effectif des prêtres n’est pas à remettre en question par rapport à des données arithmétiques de pratique de la foi aujourd’hui.
    Merci de la lecture de ce message.

  4. Bonjour !
    Merci pour votre remarque ! Il est vrai statistiquement que le nombre de prêtres aujourd’hui est sensiblement le même qu’au début du XXème siècle, en proportion de la pratique. Ceci veut dire en particulier et pour les zones rurales, qu’un prêtre d’un seul clocher avait alors sensiblement le même nombre de fidèles qu’aujourd’hui un prêtre pour de nombreux clochers. Le quadrillage territorial d’antan n’a plus de signification aujourd’hui, pas davantage le fait de constituer des méga-paroisses avec un nombre toujours croissant de clochers pour un seul prêtre.
    Il faut donc reconfigurer complètement le paysage ecclésial, autour de pôles de célébrations pouvant rassembler des fidèles de plusieurs villages. Par conséquent, la question de fond n’est pas le manque de prêtre, mais le nombre de baptisés pratiquants dans un espace donné et leur capacité à s’inscrire dans une nouvelle façon de vivre leur pratique ecclésiale.
    Cette nouvelle donne engage également à repenser le ministère propre du prêtre ainsi que le ministère des baptisés, tout comme leur relation mutuelle.

    Fr. Jean-Marc

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